Faux brief, vraie obsession

Pas de client ici, mais un prétexte solide : "Et si Vuitton me commandait une vidéo pour sa nouvelle montre ?"

(J’adore l’horlogerie.)

L’idée n’était pas seulement d’imaginer un rendu de produit haut de gamme, mais de jouer avec les codes du luxe : le flottant, le théâtral, le presque mystique — l’imaginaire quoi.
Un univers entre le podium et l’océan, où la technique sert l’image, et l’image sert l’intention.

Prendre du recul, littéralement

Revenir sur ce projet aujourd’hui, quelques années plus tard, c’est comme relire un ancien carnet de croquis.
Je vois ce que je cherchais, ce que j’aurais fait autrement, les idées qui ont tenu, et celles que j’abandonnerais.
Mais c’est aussi ce qui rend ce genre d’exercice personnel précieux : il évolue avec moi.